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19 avril 2008 6 19 /04 /avril /2008 16:54

 

    
Les North-American AT-6 "Texan" ou T-6 G

 

 

(C) Jacques Moulin 2007 revu en 2012.

 

 
  T-6G
 
   

Profil publié avec l'aimable autorisation de Patrice Gaubert.

.
  T-6G fr biskra
          

Un T-6 G1 de l'EALA 16/72.

Profils gracieusement mis à notre disposition par Patrick Marchand.

http://profiles-galore.over-blog.com/article-26172483-6.html#anchorComment
 
File8393 WEB
 T-6G fr Marsu    .
     

Un T-6G avec une déco particulière. C'est l'appareil de Pierre Fournier de l'EALA 11/72.

Le Marsupilami figurait des deux côtés du capot moteur, un insigne qui fut (hélas) rapidement remplacé (Photo Pierre Fournier)  

Profils mis à notre disposition gracieusement par Patrick Marchand.

   
 
 
T-6G fr OH gueule
Un T6-G de l'EALA 5/72.
T-6G fr TA Tebessa
         

Profils mis à notre disposition gracieusement par Patrick Marchand.

 
File4936 WEB 

Un T-6 G2 (sans armement) en vol sur l'Algérie, probablement de l'EALA 11/72

(Photo Pierre Fournier).          

 
File8396 WEB       

Il n'y avait pas que des T-6 en Algérie, ici un Harvard Mk IV (version fabriquée pour les Anglais) basé au Maroc (Meknès ou Marrakech) c'est le code H 84 qui nous l'indique, il est vu ici à Colomb-Béchar. (Photo Liberto Gil).

 
T6G WG EALA 13-72 Paul Cazelles 1958-copie-1       

T-6 G 2 code 14948 "WG" EALA 13/72 "Uturu" sur le terrain de "Paul Cazelles" en Algérie 1958.

La protection latérale a été ôtée pour permettre des travaux d'entretien ou de réparation,

ce qui laisse voir les détails de l'intérieur du côté du fuselage (Collection Marcel Fluet).

 
T6 ESCADRILLE LE PETIT PRINCE photo Sylvain FORGE          
     

Un T-6 G2 de l'escadrille « Le Petit Prince » basée à Mecheria avec un détachement à Aïn Sefra.

En reconnaissance à vue (RAV) vers Aïn Sefra. Les appareils semblent bien fatigués

(Photo Sylvain Forge, prise en déc. 60).

     
T6 AU PARKINGT6 DE L'ESCADILLE ROMARIN BASE A TIARETMAIS EN

    T-6 G2 de l'escadrille "Romarin" (EALA 14/72) basée à Tiaret en détachement

(Photo Sylvain Forge).

   
 
T-6-G-EALA-14-72.jpg
     

Une autre photo d'un T-6 G2 de l'EALA 14/72 avec tout son armement.

   File5266 WEB
         
      Un T-6 G2 "Katy" (Probablement de l'EALA 12/72 ou 1/40 la deuxième solution semble le mieux correspondre avec la période) photographié à Sidi Bel Abbès hiver 61/62 (Photo Michel Robert).
 
  File5529 WEB   

Un T-6 du CIAL 330 ou de son successeur EIALA 1/320 de la Reghaïa.

L'insigne est visible sur le côté du fuselage. (Archives Jacques Moulin)

 

Historique sommaire

 

Les Nord American AT-6 «Texan» sont certainement les avions les plus connus de toute la guerre d'Algérie et ils furent et de loin les plus nombreux à être utilisés. Mais au départ, le AT-6 ou T-6 "Texan" n’était qu’un avion d’entraînement avancé destiné au pilote de chasse, ce qui pour nous explique sa couleur jaune. Cette couleur bien reconnaissable était choisie pour éviter les collisions, en rendant les appareils plus visibles. Certains appareils livrés plus tard ont volé avec une livrée métal naturel.

A l’origine le North American AT-6 Texan était un appareil d'entraînement avancé standard pour les pilotes de chasse, juste avant et pendant la Seconde Guerre mondiale. Aussi bien aux USA qu’en Grande-Bretagne où ils seront désignés Harvard. Le AT-6 fut un véritable succès commercial : il fut produit à 15.495 exemplaires, toutes versions confondues.

Le T-6 descend du prototype NA-16, qui vola pour la première fois, le 1er avril 1935, puis il évolua en de nombreuses variantes, avant d’arriver à sa version AT-6. Par la suite, le NA-77, produit sous le nom d'AT-6A, arriva. Il était propulsé par un Pratt & Whitney R-1340-49 Wasp. L'USAAF en utilisa 1.549 et l'US Navy, 270 sous le nom de SNJ-3. Il fut suivi, par le AT-6B, destiné à l'entraînement au tir aérien des mitrailleurs, avec poste arrière doté d'une mitrailleuse de calibre .30, qui introduisait aussi le moteur R-1340-AN-1.

Dans le même temps, North American, sorti le NA-88, qui fut le prototype de 2970 AT-6C, 2.400 SNJ-4. Il fut suivi par 3.713 AT-6D, 1.357 SNJ-5.

Quand les écoles de pilotage françaises alors basées au Maroc reprirent la formation en 1943/44, un petit nombre d’appareils furent livrés à la France, dans des versions diverses. Les écoles les conserveront presque jusqu’à la fin.

Avec les combats d’Algérie le besoin se fit sentir pour l’utilisation d’appareils pouvant effectuer les missions d’attaque au sol. Le premier réflexe fut de se tourner vers les appareils français construits ou en cours de fabrication et certains types furent modifiés pour l’attaque au sol, (MS 733, Sipa et Morane-Saulnier). Puis des études furent lancées pour un appareil français pouvant effectuer ce travail, mais cela allait évidemment prendre du temps.

Il fut rapidement décidé d’employer l’avion d’entrainement alors en cours d’utilisation, mais ces appareils étaient trop peut puissants et trop peu nombreux pour cet usage et les seuls appareils disponibles en grand nombre sur le marché de l’occasion étaient les T-6 D et G.

Les premiers appareils reçus par la France étaient des appareils de surplus, 119 T-6 D et plus tard arriveront 693 T-6 G, plus diverses autres versions (81 Harvard et 56 SNJ-4).

Les Harvard étaient la version destinée à la Grande-Bretagne et les SNJ une version destinée à la Marine, avec, pour certains, une crosse destinée à l'utilisation sur porte-avions. Ces derniers furent essentiellement utilisés par l’Aéronautique navale pour l’entrainement de ses équipages, mais certains, non armés, volèrent en mission de reconnaissance.

Les premières livraisons seront effectuées en deux temps. Les premiers avions livrés le furent au titre du Plan d'aide mutuelle (PAM ou MDAP) en 1951 et 1952, dans le cadre du Traité de l'Atlantique Nord, pour un usage d’avion école.

Mais après le début des « événements » algériens, il fut nécessaire d’acheter d’autres appareils aux USA, si possible en grand nombre, pour les opérations en Algérie en 1956. Mais avant l'arrivée de ces livraisons, certains de ces avions écoles furent armés et transférés en Algérie dans des unités combattantes. Les premiers qui étaient arrivés en 1951, donc avant le début «des événements», équiperont les écoles de pilotage alors basées au Maroc : les écoles de Marrakech et de Meknès.

Ces appareils furent livrés en 1956, au nombre de 585, uniquement des type T-6 G en provenance directe des surplus américains. Livrés par bateau directement au port de Pauillac ils furent dirigés sur la SFERMA de Bordeaux-Mérignac pour modification afin d’être utilisés pour les fonctions d’avion d’appui-feu. Ces appareils furent rapidement utilisés en grande quantité dans les opérations militaires, pour toutes sortes de missions, Reconnaissance à vue (RAV), protection de convois, veille aérienne, appui-feu lors de missions.

De 1956 à 1959, les commandes passées aux USA porteraient sur 595 T-6 G auxquels s’ajoutaient les premiers livrés soit 62 au titre du PAM et 34 appareils destinés aux pièces de rechange. Dès les travaux effectués, les avions sont réceptionnés par l’EEA 601 et convoyés vers l’AFN  Les premiers de ces avions armés deviennent alors des T-6 G 1 et envoyés en Algérie pour y équiper les escadrilles de l'aviation d'appui qui venaient alors d'être créées.

Ils compléteront la flotte, avant de remplacer, peu à peu, les Morane-Saulnier 733 «Alcyon», les Sipa 11 et 21 et même les Morane «Vanneau». Les T-6 seront utilisés en opération à partir de 1956.

 
 
  Photo-4_WEB.jpg
     

Un T-6G2 probablement de l'EALA 3/9 (Photo Demasson).

 

Rapidement les premiers montages d'armement de deux mitrailleuses MAC 34/39 (une sous chaque aile)  de la version T-6 G1 seront remplacés par des pods équipés de deux mitrailleuses AA 52, sous chaque aile et de lance-roquettes, principalement pour le lancement des Tercé T-10, ainsi que de lance-bombes. Les appareils seront alors appelés T-6 G2. Ces modifications ont été réalisées à Ambérieu (Ain) et, par la suite, tous les T-6 G furent transformés en G2. Mais si ces appareils rendirent de signalés services aux troupes françaises en Algérie, ils n’avaient pas été construits pour porter autant d’armements et, pour effectuer des missions dans un climat aussi chaud, ils étaient sous-motorisés. Ils possédaient donc, soit un rayon d'action ou un temps de vol réduit, soit des charges militaires réduites. C'est pour cela que la France commanda d'autres appareils de surplus aux USA mais en bien plus faible quantité (Fennec et Skyraider). Nous les verrons plus tard.

Même avec ce handicap, ces appareils étaient alors les mieux adaptés à ces missions d'appui-feu. Les T-6 G équiperont la majorité des EALA en Algérie, soit les EALA n° 1 à 21/72 et n° 1 à 5/73.

Il est à noter que ces unités changeront parfois de nom.

Le T-6 va devenir célèbre en Algérie. Combien de postes attaqués, de convois tombés dans une embuscade doivent leur salut à l'aide rapide des T-6 ?

Dès 1961 les T-6 G2 qui étaient souvent à bout de souffle furent retirés du service au fur et à mesure de l’arrivée des Fennec et des Skyraider, les avions récupérés furent attribués au Centre d’entraînement des Réserves.

Après le cessez-le-feu, les derniers avions seront rapatriés en métropole, certains seront fournis à l'Espagne et au Portugal (56 T-6G furent livrés au Portugal, 46 en 1961 et 10 en 1962) qui continuait des guerres coloniales.

 
Photo-7.jpg
     Un T-6 G2 de EALA 11/72 armé de 8 roquettes T-10 au roulage avec son armement

(Photo origine Pierre Fournier).

 

Après 1981, date de leur retrait de l'aviation espagnole, certains de ces avions reviendront en France où vous pouvez parfois les voir évoluer dans les meetings, pilotés par des fanatiques de la conservation du patrimoine aéronautique, volant parfois avec les décorations qui furent les leurs pendant la guerre d'Algérie.

 
 T6 espagnol Getafe (Espagne) Mai 1980
           
     Un T-6 G espagnol à Getafe (Espagne) en 1980 quelques semaines avant leur retrait.

(©) Photo Jacques Moulin.  

 
File4903 WEB
    Un autre des T-6 D espagnol, toujours à Getafe (Espagne) en 1980 quelques semaines avant leur retrait.(©) Photo Jacques Moulin.Scan285
     Un T-6 D sur le nez probablement au Maroc, il s'agit d'un appareil "armable" (le chiffre 6 et souligné correspond à un T-6 D sur lequel  il est possible de monter
une ou deux mitrailleuses de capot synchronisées de calibre .30).
 
T6-ERALA-1-40.jpg
           Le T-6 G ''crashé''. C’était l'appareil du sergent Cantonnet de l'ERALA 1/40. Il présente la particularité de montrer sur son aile gauche (à droite sur la photo), l'antenne d'un avertisseur de décrochage qui avait équipé les T-6 à la suite d'accidents de pilotes qui ne surveillaient pas leur badin dans les ressources après une passe de tir (Origine Binet).
     

Indicateur de décrochage

L'avertisseur de décrochage est un équipement assez répandu sur nombre d'appareils... bien que son nom soit assez fallacieux. En réalité, pour les appareils subsoniques, c'est plutôt un indicateur d'incidence critique. Au fur et à mesure que l'incidence de l'aile augmente, le point de séparation entre le courant d'intrados et le courant d'extrados évolue (il descend sur le bord d'attaque) et on utilise cette évolution via un procédé pneumatique (genre tube de Pitot, mesure de l'écart de pression entre deux points) ce qui correspond à la photo. Un autre système purement mécanique (palette située au point idoine, avec contact électrique derrière) avertit le pilote qu'il est temps de rendre la main...

Précision d’Alain Breton.

.
 
File5748bis_WEB.jpg

 Un T-6 G-2 de l' EALA 13/72 accidenté en Algérie.

Remarquez que l'appareil ne portait pas de cocarde de fuselage.

       
********************
     

AT-6 - TEXAN

Avion d'instruction de l'aviation militaire des Etats-Unis 1937-1945.

               File4935_WEB-copie-1.jpg

   Plan réalisé par Jacques Moulin dans les années 70 pour publication dans le célèbre "Camouflage Air Journal."     

Caractéristiques T6-G.

(Peuvent être en partie fausses je n'ai pas trouvé de source incontestables sur le sujet)

Constructeur : North American Aviation

Équipage : 2

Missions : entrainement et appui feu leger.

Date du premier vol :avril 1935

Dimensions

Envergure :  12,98 m

Longueur : 8,84 m

Hauteur :  3,89 m

Surface alaire :

Charge allaire :     

 

Masse

 

 

Masse à vide : 1850 kg

Masse totale en charge : 2450 kg

 

Performances :

Vitesse maxi : 325 km/h

Vitesse de croisière : 230 km sans armement et 200 km/h avec armement

Vitesse ascensionnelle :

Autonomie : 5 heures

Plafond : 3600 m

Distance franchissable :

Altitude de croisière :

Rayon d’action :1175 km

        Armement :

    T-6 utilisé pendant la guerre d'Algérie 1954-1961 (T-6G1 et G 2)

            4 mitrailleuses de 7,5, 6 lance-roquettes explosives et 2 lance-bombes.

ou 2 lanceurs MATRA (roquettes à charge creuse) de 7 roquettes chacun.

 

Communication radio : 

SCR 522 (VHF) Radio compas AN/ARN 6(ou 7) SCR 300 pour liaison avec troupes au sol.

 

Moteur

Marque : Pratt & Whitney

Type : R 1340 "Wasp"

Configuration : 9 cylindres en simple étoile

Refroidissement : air

Suralimentation : oui

Puissance normale au sol : 550 ch

Puissance à 5000 pieds : 550 ch

Puissance au décollage : 600 ch

Equivalent puissance :

Régime de l’hélice :

Alésage : 146 mm

Course : 146 mm

Cylindré totale : 22 litres 

Taux de compression : 6:1

 Poids à sec:  422 kg

Diamètre : 1,314  m

       

 

File8395 WEB    

Un T-6 G2 de l'EALA 19/72 en vol (Archives Pierre Cortet).  

   Crash_du_Bravo.jpg
 
  24_mai_1959_crash_du_T6-bravo-1-.jpg
             

Deux photos prises le 24/05/1959. Première mission de récupération sur la frontière tunisienne coté Algérie, proche de Sakiet. Il s'agissait du T-6 G BRAVO piloté par le capitaine Kauffer de l'EALA 12/72 à Bône les Salines (Pardon mon capitaine si j'ai écorché l'orthographe de votre nom dont je ne me souviens plus très bien).  Si mes souvenirs sont exacts le crash était inévitable suite à une fuite d'huile au niveau d'un chapeau de culbuteur (Photo Jean Bourey).

  Photo-2-copie-1.jpg
                   

Cinq T-6 G2 , le KO n° 51-14839 appartient à l'EALA 2/2 ou 02/002 dont on aperçoit l'insigne,

les autresT-6 appartiennent à l'EIALAA 1/320.

File5571_WEB.jpg
    Insigne non homologué de EALA 2/2.

Il correspond à la fusion des deux insignes des EALA 1/72 et 8/72.     

          T6 Warbird Juillet 91

 
            Un T-6 sauvegardé vu en meeting en France en 2009. (Photo Jacques Moulin).
  Un T-6 G de l'EALA 1/72 en vol. (Archives Thierry Matra)
 
 
        File9132-1 WEB    

 

Un plan couleurs que j'avais réalisé et publié dans le "Camouflage Air Journal" Volume 9 n° 1 de janvier-février 1975, dessin réalisé au rotring et dessiné en noir, couleur par couleur...

 

 

 

 
  T6 11-72 34610
 
Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy
 
 
T6 1-40 34593
 
Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy
 
T6 1-72 15209 
 
 
Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy
 
 
T6 8-72 14915 
 
 
Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy
 
T6 4-72 28245 
 
Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy
 
T6 3-72 493080 
Profil offert gracieusement par son auteur Jacques Davy
 
 
 
Jacques Davy nous a offert ces très beaux profils, merci à lui...
N'oubliez pas de visiter son site.
 
 
      Pour plus de renseignements sur les T-6, vous pouvez essayer de vous procurer le livre:

 

T-6 sur l'AFN, écrit par Alain Crosnier et Gilbert Nëel (Editions DTU).

        

 
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19 avril 2008 6 19 /04 /avril /2008 16:36

Les articles publiés sur ce site ont été, pour certains,  publiés par le mensuel "L'Ancien d'Algérie", organe Officiel de la Fédération Nationale des Anciens Combattant en Algérie nous avons complétés les illustration et nous sommes prêt a compléter les textes suivant votre demandes.

Vous pouvez nous contacter au mel:

aviation@dbmail.com


Nous attendons vos informations , vos réserves et éventuellement vos coopérations.


L'auteur: Jacques Moulin, ancien combattant d'Algérie (8ème Regiment de Hussard) , est adhérent de la FNACA depuis mai 1959 et dès juin de cette même année, il devient président du comité du Rhône de la fédération et ce, jusqu'en 1967.

A partir de 1968 il s'intéresse à l'histoire de l'aviation et publie de très nombreux articles.
D'abord dans des journaux amateurs,  (Air Journal 39/45, Camouflage Air Club, IPMS, le Trait d'Union) avant de devenir correspondant de diverses publications nationales («Air Fan», «le Fana de l'Aviation», «Jets», «Avions», «Aviation Française Magazine», etc.), et de publier plusieurs livres («Les Autogires LeO C 30» éditions Lela Presse 2003, «Le Loire 46», Avia Editions 2004, et dernièrement «Le Bloch 174», toujours au éditions Lela Presse en 2006).


Il est très connu dans le milieu des journalistes et historiens aéronautiques.


Il est actuellement vice-président du comité FNACA de Bron (Rhône), un comité qu’il a créé en 1970.


Jacques MOULIN, est connu dans le milieu des historiens aéronautique, il a déjà publié de nombreux articles sur l'aviation et plus récemment trois livres :

Les autogires LeO C.30 et C.301

 

Voir  http://www.aerostories.org/~aerobiblio/article182.html

Les Loire 43, 45 & 46 (Epuisé).

Voir  
http://www.aerostories.org/~aerobiblio/article624.html

Les Bloch 174 et dérivés(Epuisé).
 Voir 
http://www.aerostories.org/~aerobiblio/article887.html



Les Bloch 210 (a venir en 2012)
Voir

 http://www.aerostories.org/~aerobiblio/article2610.html

 






 
 
 
 



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   Ce quatrième ouvrage parraitra incessament (2013)



Vous pouvez retrouver aussi des renseignements sur ses livres sur le site :

 
http://club-air-lyon.over-blog.com/ 

 

ou
 

http://www.aerostories.org/~aerobiblio/mot.php3?

 

 

Personne n'est assez insensé pour préférer la guerre à la paix; en temps de paix les fils ensevelissent leurs pères; en temps de guerre les pères ensevelissent leurs fils.

Hérodote
 

 

 

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  • Déjà ancien dans l'histoire de l'Aviation, j'ai écrit de nombreux article dans diverses revues depuis 1968 et publié trois livres, un sur les autogires, un sur le Loire 45/46 et un sur le Bloch 174 ces deux derniers livres sont épuisés).
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